Fleurs Du Mal
Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire constituent l'oeuvre phare du poète, aussi bien pour lui-même que pour tous ceux qu'il a inspiré. Ces poèmes du XIXème siècle sont encore de nos jours lus et appréciés, pour leur substance poétique et pour l'élan de révolte qu'ils suscitent.
SPLEEN ET IDÉAL
- I. — Bénédiction
- II. — L’Albatros
- III. — Élévation
- IV. — Correspondances
- V. — J’aime le souvenir de ces époques nues
- VI. — Les Phares
- VII. — La Muse malade
- VIII. — La Muse vénale
- IX. — Le mauvais Moine
- X. — L’Ennemi
- XI. — Le Guignon
- XII. — La Vie antérieure
- XIII. — Bohémiens en voyage
- XIV. — L’Homme et la Mer
- XV. — Don Juan aux enfers
- XVI. — Châtiment de l’orgueil
- XVII. — La Beauté
- XVIII. — L’Idéal
- XIX.— La Géante
- XX. — Le Masque
- XXI. — Hymne à la Beauté
- XXII. — Parfum exotique
- XXIII. — La Chevelure
- XXIV. — Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne
- XXV. — Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle
- XXVI. — Sed non satiata
- XXVII. — Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
- XXVIII. — Le Serpent qui danse
- XXIX. — Une Charogne
- XXX. — De profundis clamavi
- XXXI. — Le Vampire
- XXXII. — Une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive
- XXXIII. — Remords posthume
- XXXIV. — Le Chat
- XXXV. — Duellum
- XXXVI. — Le Balcon
- XXXVII. — Le Possédé
- XXXVIII. — Un Fantôme
- XXXIX. — Je te donne ces vers afin que si mon nom
- XL. — Semper eadem
- XLI. — Tout entière
- XLII. — Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire
- XLIII. — Le Flambeau vivant
- XLIV. — Réversibilité
- XLV. — Confession
- XLVI. — L’Aube spirituelle
- XLVII. — Harmonie du soir
- XLVIII. — Le Flacon
- XLIX. — Le Poison
- L. — Ciel brouillé
- LI. — Le Chat
- LII. — Le beau Navire
- LIII. — L’Invitation au voyage
- LIV. — L’Irréparable
- LV. — Causerie
- LVI. — Chant d’automne
- LVII. — À une Madone
- LVIII. — Chanson d’après-midi
- LIX. — Sisina
- LX. — Franciscæ meæ Laudes
- LXI. — À une dame créole
- LXII. — Mœsta et errabunda
- LXIII. — Le Revenant
- LXIV. — Sonnet d’automne
- LXV. — Tristesses de la lune
- LXVI. — Les Chats
- LXVII. — Les Hiboux
- LXVIII. — La Pipe
- LXIX. — La Musique
- LXX. — Sépulture
- LXXI. — Une Gravure fantastique
- LXXII. — Le Mort joyeux
- LXXIII. — Le Tonneau de la haine
- LXXIV. — La Cloche fêlée
- LXXV. — Spleen
- LXXVI. — Spleen
- LXXVII. — Spleen
- LXXVIII. — Spleen
- LXXIX. — Obsession
- LXXX. — Le Goût du néant
- LXXXI. — Alchimie de la douleur
- LXXXII. — Horreur sympathique
- LXXXIII. — L’Héautontimorouménos
- LXXXIV. — L’Irremédiable
- LXXXV. — L’Horloge
TABLEAUX PARISIENS
- LXXXVI. — Paysage
- LXXXVII. — Le Soleil
- LXXXVIII. — À une mendiante rousse
- LXXXIX. — Le Cygne
- XC. — Les sept Vieillards
- XCI. — Les petites Vieilles
- XCII. — Les Aveugles
- XCIII. — À une passante
- XCIV. — Le Squelette laboureur
- XCV. — Le Crépuscule du soir
- XCVI. — Le Jeu
- XCVII. — Danse macabre
- XCVIII. — L’Amour du mensonge
- XCIX. — Je n’ai pas oublié, voisine de la ville
- C. — La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse
- CI. — Brumes et Pluies
- CII. — Rêve parisien
- CIII. — Le Crépuscule du matin
LE VIN
- CIV. — L’Âme du vin
- CV. — Le Vin des chiffonniers
- CVI. — Le Vin de l’assassin
- CVII. — Le Vin du solitaire
- CVIII. — Le Vin des amants
LES FLEURS DU MAL
- CIX. — La Destruction
- CX. — Une Martyre
- CXI. — Femmes damnées
- CXII. — Les deux bonnes Sœurs
- CXIII. — La Fontaine de sang
- CXIV. — Allégorie
- CXV. — La Béatrice
- CXVI. — Un Voyage à Cythère
- CXVII. — L’Amour et le Crâne
RÉVOLTE
- CXVIII. — Le Reniement de saint Pierre
- CXIX. — Abel et Caïn
- CXX. — Les Litanies de Satan
LA MORT
- CXXI. — La Mort des amants
- CXXII. — La Mort des pauvres
- CXXIII. — La Mort des artistes
- CXXIV. — La Fin de la journée
- CXXV. — Le Rêve d’un curieux
- CXXVI. — Le Voyage