Mallarmé, la grammaire et le grimoire

Page créée le 27 janvier 2006 à 12h11 par François Direz print pdf

La «parité secrète» que Mallarmé percevait «entre les vieux procédés et le sortilège, que restera la poésie» conduit Mireille Ruppli et Sylvie Thorel-Cailleteau à reconsidérer l’héritage effectif «d’une étude projetée sur la Parole»… Lire la suite ici

Dernière modification le 28 octobre 2008 à 12h09