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Le Comte Louis de Chevigné est né le 30 janvier 1793 à Chavagnes-en-Paillers, en Vendée. Il épouse la fille de Nicole-Barbe Ponsardin, plus connue sous le nom de Veuve Clicquot en 1817. Il composera les Contes rémois de 1827 à 1866.

Louis de Chevigné décède en son hôtel particulier de la rue Cérès, l'hôtel Ponsardin, à Reims, le 19 novembre 1876.
Inspiré de Boccace ou de La Fontaine, ces contes libertins mettent en scène le petit peuple de Reims et de sa région. On trouvera ici une transcription de quleques contes en vers.
- Au lecteur, dédicace, prologue
- Les cinq layettes, 1827.
- Les inconvénients du repentir, de 1827.
- La confession supprimée, de 1828.
- Le jeune prince, de 1828.
- Les deux perdrix, de 1829.
- L’arrêt épiscopal, de 1829.
- Le Mariage de raison, de 1830.
- L’Epoux matinal, de 1830.
- Le Berceau, de 1831.
- Le jeûne rompu, de 1831.
- L’Enfant intrépide, de 1831.
- Le Choix d’une messe, de 1833.
- L’Amant crucifié, de 1834.
- Le Scrupule d’un comptable, de 1835.
- Le Prédicateur ennemi de la foule, de 1835.
- Le Faucon, de 1836.
- Le Solecisme, de 1837.
- Le Paradis, de 1837.
- Le Gros Dogue et le petit chien, de 1838.
- Qui nourrira l’enfant, de 1838.
- La Culotte des Cordeliers, de 1839.
- Le Perroquet, de 1839.
- Le Pouvoir d’une femme, de 1840.
- La Bonne vierge, de 1840.
- Le Mari borgne, de 1841.
- L’Aveu naïf, de 1841.
- La Batelière, de 1842.
- Le Bon cousin, de 1843.
- Le Bon hôtelier, de 1844.
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